Novembre 2022
La pédophilie engendre la possession
Le
cauchemar des pédophiles
Dès que les yeux visionnent des vidéos d’abus sexuels, aussitôt un esprit
pervers vient essayer de s’emparer du corps. Voici comment il s’y
prend. Les yeux n’étant que des yeux, l’esprit pervers se sert des images que
les yeux voient pour lui imprimer des émotions fortes qui vont ‘flasher’ la conscience.
Croyant que ces émotions viennent de lui, l’homme les interprète comme un
plaisir charnel auquel il s’associe intimement. Résultat, il tombe au piège des
manipulations démoniaques. Sa liberté (libre penseur) est soustraite et il est
systématiquement entraîné dans le cercle de débauches sans fin et devient
pédophile à son insu - sans comprendre qu’il est manipulé.
Comme les yeux ne voient pas cet esprit,
l’homme se croit à l’origine de ce mal. Il ne peut se défaire de ce désir
charnel, ni s’en dissocier, vu que ce n’est pas lui qui l’a causé, cela ne
vient pas de lui (comme vouloir nettoyer une tâche qui n’est pas vraiment là).
Il lui est alors difficile de sortir de ce cercle. Pour surmonter ce mal,
l’homme va devoir reconnaître que ce désir charnel vient de celui qui le manipule
; quand il comprendra cela, il pourra commencer à se dissocier de lui et
décoller ces pensées des siennes.
L’esprit pervers comme tous les esprits
impurs convoitent les corps humains, car eux-mêmes n’ont pas de corps, ils ne
sont pas de matière. Ils sont damnés comme un damné peut l’être aux enfers sans
possibilité de rédemption. Ils sont si profondément damnés qu’ils veulent que
d’autres soient aussi damnés qu’eux, vu qu’ils ne cherchent qu’à faire mal.
Et pour pouvoir nous ‘squatter’, ils
doivent retirer notre conscience, vider le corps avant d’en prendre possession.
En retirant notre conscience, ils peuvent alors aposer leurs pensées. La
conscience nous sert de raisonnement (sans raisonnement, pas de conscience).
Reconnaître
l’effet démoniaque
Les
manipulés (ou pédophiles) n’ont de plaisir sexuel que lorsqu’ils peuvent se
voir (le démon regarde sa nouvelle enveloppe), ils veulent aussi que les autres
voient (le démon exhibe sa nouvelle enveloppe aux autres). L’exhibitionnisme
résulte d’une manipulation démoniaque ; les démons exhibent le corp dont ils
ont l’entière emprise. Les manipulés ne ressentent pas de regret, l’esprit
pervers leur a retiré leur conscience. Ils sont lâches (s’en prennent aux plus
faibles) et agissent en secret, menant une double vie (alternances entre humain
et démon), c’est pourquoi ils font de l’amnésie. Les manipulés convoitent des
yeux et l’image qu’ils s’en font les rend plus subjectifs à la perversité ; les
humains ne sont que des objets aux yeux des démons.
Victimes de pédophilie
Les anciennes victimes de pédophiles se
trompent à vouloir soigner leur corps et non leur âme. Car les blessures qui
n’ont pas cicatrisées habitent dans leur mémoire assombrie. Il faut donc
soigner la mémoire et restituer à la mémoire ce que la mémoire réclame, son
intégralité. C’est le chemin de la croix jusqu’au Golgotha. Le plus grand défi
est de se dissocier du charnel. Beaucoup de ressentiments cohabitent dans leur
charnel, beaucoup d’émotions et d’associations mentales négatives encombrent
leur vue et les empêchent de voir clairement. Un corps souillé se nettoie, mais
une âme souillée de mauvais souvenirs, de mauvaises expériences… Quelques différenciations à faire. Le corps est comme
un petit poney et restera un petit
poney. Nos bras, nos jambes, nos yeux, nos oreilles, sont des instruments précieux
qui nous servent tous les jours. Il ne faut pas craindre le petit poney, car il
reste toujours soumis à notre volonté propre. Il faut en prendre bien soin.
Retrouver la paix en son corps c’est reconnaître son innocence et qu’il a
besoin de nos soins, car il est faible et ne peut agir sans notre directive.
Prenez bien soin de votre petit poney, il est précieux pour notre vie. S'en
séparer mènera à un très grand préjudice, celui de déclarer coupable un
innocent. Ce n’est qu’un petit poney tout simplement, miraculeusement. La
deuxième chose est notre incompétence devant le danger. Il va falloir apprendre à réagir, coûte que coûte. Un
tout petit chien n’aboie-t-il pas quand il voit venir un danger… Apprendre
quelques gros mots n’est pas déplacé. Avoir en soi la présence de courage.
Savoir donner un coup de pied par ex. Apprivoiser le courage, le faire naître
en soi et le faire grandir. Maitriser sa force et son courage. Comprendre ce
pourquoi nous agirions avec force et aller au devant de soi. Maitriser sa peur
d’autrui. Comprendre ses tenants et ses aboutissants. Il faut savoir maitriser
la peur afin que nous ayons une estime de soi et ne pas être lâche. La peur,
c’est cette émotion négative qu’un esprit impur imprime sur notre coeur, laissant
croire qu’elle vient de nous. Il faut se dissocier de cette impression
négative, savoir qu’elle ne vient pas de nous. Ils se mettent souvent à
plusieurs contre notre conscience : l’un apose l’émotion de peur, l'autre
d’immobilité (figé), un autre nous imprime une notion de solitude face à un
groupe, avec un sentiment d’insurmontable. Continuons à éplucher ces images
négatives jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien de ces démons. Puiser dans la force
d’autrui. Nous ne sommes pas seuls,
ceux qui nous entourent, directement ou directement, de près ou de loin, sont solidaires
dans le combat. Aller chercher la force des autres, de ceux à qui on croit, à
qui on a confiance, qui sont passés par là aussi et ont surmonté les épreuves.
Martin de Tours est tout un exemple devant les démons et les idolâtres dans la
France d’autrefois. Associez-vous à ceux que vous aimez, aux gens à qui vous voudriez
ressembler (sauf concours de beauté). Vous n’êtes pas seuls-es, tissez des
solidarités, directement ou indirectement, c’est s’engager comme solidaire de ceux et celles qui vont avoir besoin de vous.
LUTTONS CONTRE CE FLÉAU - SOUTENONS AU MOINS UNE ASSOCIATION QUI DÉFEND LES DROITS DES ENFANTS, N'HÉSITONS PAS À PROTÉGER LES ENFANTS ET À DÉNONCER LEURS AGRESSEURS.
Documentaire, 2020 (sous-titres English) : lien
Articles de presse, 2022 : lien
Défendre les enfants, 2021 : lien